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27
mai
2010
Marseille-Provence 2013 : épilogue ?
Liste noire Appels d’offres-Concours-Crowdsourcing | 0 commentaire
Point de règlement de l’Appel à projets pour la création du logo et de la charte visuelle de Marseille-Provence 2013, capitale européenne de la Culture
Un concours proposé par une association, comme celui d'une société ou tout organisme privé, n'est pas soumis aux règles des marchés publics. C'est donc le droit des contrats qui s'applique. Si un règlement ne prévoit rien à propos de l'obligation de choix parmi les propositions qui résultent du concours, l'émetteur du concours et libre de ne pas se justifier…
Loin des utopies
La qualité d’un projet de design révèle la qualité de la relation entre le commanditaire et le designer. Réussir sa transformation d’un cahier des charges en une création pertinente est l’aboutissement d’un accompagnement autour d’une idée commune, dans le respect d’une contrepartie équitable. Un design de qualité se mérite.
Parier sur la qualité du résultat simplement par l’émulation d’une mise en concurrence, c’est ne rien comprendre au design et ce en quoi il est utile. On aura beau faire appel aux meilleurs professionnels, dont les travaux seront jugés par le meilleur jury, la relation ne sera « fructueuse » que si elle est basée que sur un investissement mutuel, c’est-à-dire AUSSI celui du commanditaire, qui est le premier responsable en cas d’échec.
L’échec de cet appel d’offres « Capitale culturelle 2013 » est devenu emblématique de frustrations, de colères ou de gâchis : celles des membres du jury et des designers dont le professionnalisme n’est pas respecté ; ceux des commanditaires qui n’obtiennent pas les résultats escomptés ; celles des contribuables, qui voient l’argent public gaspillé.
Lire plus : www.marsactu.fr
Un concours proposé par une association, comme celui d'une société ou tout organisme privé, n'est pas soumis aux règles des marchés publics. C'est donc le droit des contrats qui s'applique. Si un règlement ne prévoit rien à propos de l'obligation de choix parmi les propositions qui résultent du concours, l'émetteur du concours et libre de ne pas se justifier…
Loin des utopies
La qualité d’un projet de design révèle la qualité de la relation entre le commanditaire et le designer. Réussir sa transformation d’un cahier des charges en une création pertinente est l’aboutissement d’un accompagnement autour d’une idée commune, dans le respect d’une contrepartie équitable. Un design de qualité se mérite.
Parier sur la qualité du résultat simplement par l’émulation d’une mise en concurrence, c’est ne rien comprendre au design et ce en quoi il est utile. On aura beau faire appel aux meilleurs professionnels, dont les travaux seront jugés par le meilleur jury, la relation ne sera « fructueuse » que si elle est basée que sur un investissement mutuel, c’est-à-dire AUSSI celui du commanditaire, qui est le premier responsable en cas d’échec.
L’échec de cet appel d’offres « Capitale culturelle 2013 » est devenu emblématique de frustrations, de colères ou de gâchis : celles des membres du jury et des designers dont le professionnalisme n’est pas respecté ; ceux des commanditaires qui n’obtiennent pas les résultats escomptés ; celles des contribuables, qui voient l’argent public gaspillé.
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