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Monsieur,
dans votre magazine Capital n° 255 de décembre 2012, dans l’article « Quand les régions se lancent dans le business, aie, aie, aie… », page 23, « Ile-de-France, À quoi sert donc le Lieu du design ? », vous écrivez :

« En fait, les initiatives de ce centre sont surtout tournées vers lui-même, dénonce un responsable de l’Alliance française des designers, le principal syndicat de la profession. II ne nous a contactés que pour nous proposer d’être partenaires moyennant le versement de 4 000 euros. »

Vous avez contacté au téléphone un de nos dirigeants pour vous entretenir de notre perception du Lieu du design. Lors de cet entretien, où il a été question de design, il vous a expliqué que, notamment, si nous avions émis des critiques à son sujet quant aux modalités d’un partenariat, nos relations s’étaient améliorées ces derniers mois parce que nous avions constaté une évolution dans le bon sens, celui de la valorisation du design par des faits nouveaux de coopérations avec les représentants des designers.

Le design est une source économique et culturelle d’avenir pour notre société. Nous aurions apprécié de retrouver dans votre article la teneur plus équilibrés de notre propos. Attristés du raccourci que vous faites de notre entretien, nous ne pouvons souscrire à son esprit, qui semble ne servir que votre analyse et non la cause du design.

L’AFD n’est pas partisane, l’AFD ne fait pas de politique, l’AFD est un syndicat professionnel dont l’objet est uniquement de défendre les intérêts de la profession de designer. Nous restons disponibles pour en discuter avec vous.

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